Cirque de l’Impératrice (extérieur) en 1852[/caption]
Le Cirque en 1852 : Outre l’inauguration du Cirque Napoléon, cette année fut fertile en évènements importants comme la percée de Renz à Berlin, la création du premier cirque flottant en Amérique ou la consécration de Paris comme capitale mondiale du Cirque.
Dans la patrie du Cirque en 1852
Au Cirque Astley en 1852 – gravure du Punch[/caption]
L’année suivant la première Exposition Universelle de Londres, l’Angleterre connaissait une période de remarquable prospérité due à une stabilité politique, à l’accroissement de la population, l’adoption du libre-échange, et le développement des voies de communication. Sa Très Gracieuse Majesté Victoria régnait sur un Empire étendu sur toute la planète. L’Astley’s Royal Amphitheatre, dirigé par William Batty depuis 1842, pouvait se targuer d’être une institution et un des hauts lieux des divertissements londoniens. On y jouait la célèbre pantomime Mazeppa sous l’œil attentif du Maître de Manège John Esdaile Widdicomb. Sur cette piste légendaire, les frères Siegrist firent sensation avec un numéro de perche portée.
Autres cirques du Royaume
Dans le Royaume, de nombreux autres établissements proposaient aussi des spectacles célébrant les Jeux de la Piste. Ainsi Hengler présentait l’écuyère Rose Ethair et le clown à cheval James Henry Frowde. Le Welsch’s Circus, à Glasgow, programmait l’écuyère Clementine Soullier, Cooke à Great Yarmouth mettait à l’affiche l’écuyère Joséphine Zamesco. Tailliot engageait Robert Fossett et Emma Yelding, les fondateurs de cette célèbre dynastie. D’autres cirques comme Smith, Lawrence, Knight, Hernandez and Eaton Stone divertissaient les Britanniques. À la foire de Greenwich, on assista aux débuts d’un jeune clown Charlie Keith.
Toujours à Londres, pendant la saison d’été, le Français Henri Franconi fit la réouverture de l’Hippodrome de Kensington qui avait été érigé l’année précédente. On pouvait y applaudir les danseurs de corde Elliott Brothers, et la funambule Mademoiselle Esler.
Un événement d’une importance capitale pour l’histoire du Spectacle allait survenir en Angleterre le 17 mai 1852, au Canterbury Hall de Londres, Charles Morton créait une nouvelle formule de spectacle de variétés appelé music-hall.
Le Cirque en 1852 : À Paris
Les Parisiens fortunés et les membres du Jockey Club fêtaient leur nouvelle citoyenneté du second Empire, sous la houlette de Louis Napoléon Bonaparte. Ils fréquentaient assidûment le Cirque National des Champs Elysées, rebaptisé Cirque National de Paris depuis 1848. Ce chef d’œuvre architectural d’Hittorf allait changer d’enseigne à partir de 1853, et s’appeler le Cirque de l’Impératrice – on avait le sens de l’opportunité – puis le Cirque d’Eté après 1870.
Le cirque de l’Impératrice (intérieur) dessin de Paul Haynon[/caption]
Louis Dejean dirigeait de main de maître l’entreprise. De par son architecture, le Cirque National de Paris, qui fut copié dans le monde entier, était sans doute le plus beau du monde. Un lustre monumental alimenté au gaz, trônait au-dessus de la piste, tandis que seize autres luminairess éclairaient la salle. La réouverture eut lieu le 18 avril. L’orchestre était composé d’une quarantaine de musiciens. Parmi les vedettes on retrouvait le grand maître écuyer François Baucher.
Les plus grands artistes
La troupe était composée du clown mythique Jean Baptiste Auriol, des étoiles de la Piste tels les frères Franconi, les frères Loyal, Montero, Siegrist, Lalanne… Si les écuyères étaient le centre de convergence des regards masculins, d’autres artistes réussirent à capter l’attention des spectateurs. Ainsi Candler et Laristi étonnèrent la gentry avec leurs exercices à la perche persane. En septembre, on assista aux débuts parisiens du clown anglais Thomas Kemp, qui vêtu d’un maillot multicolore distrayait les spectateurs avec une plume de paon et ou une toupie qu’il faisait tourner sur son menton.
Pendant ce temps, Louis Dejean transformait la Société du Cirque National de Paris en Société pour l’exploitation des Deux-Cirques dans le but d’entreprendre la construction d’un deuxième cirque parisien.
Les Hippodromes parisiens
]François Baucher, au Cirque en 1852[/caption]
Cependant, le Cirque National des Champs Elysées devait se mesurer à la concurrence des hippodromes parisiens. Tout d’abord, l’Hippodrome de la Barrière de l’Etoile, créé en 1845 par Laurent Franconi, son fils Victor, et Ferdinand Laloue, baptisé l’Hippodrome National, et qui après la Révolution de février 1848, s’intitula Hippodrome de la République.
Ces vastes arènes de 130 mètres de long, de style mauresque, étaient dirigées depuis 1850 par Pierre Célestin Arnault. On put applaudir à partir du 12 juin 1852, Le martyr chrétien livré aux bêtes féroces, avec la participation du dompteur Charles face aux fauves de la Ménagerie d’Huguet de Massila.
Arènes nationales et impériales
En juillet, la funambule Madame Saqui, âgée de 66 ans, costumée en pèlerin et affublée d’une vénérable barbe postiche, de retour d’Espagne, faisait frémir les foules.
Ensuite, les Grandes Arènes Nationales situées rue de Lyon, près de la place de la Bastille, ouvertes au public depuis l’année précédente, en juillet, étaient dirigées par le même Pierre Célestin Arnault. Dans cet établissement contenant 20.000 places, les vedettes du spectacle étaient d’audacieux gymnastes comme Alphonse Thévelin.
Les frères Buislay furent aussi des vedettes du genre. Ces artistes présentaient plusieurs numéros comme la boule aérienne en spirale ou le double trapèze. Le jour de la clôture, le 21 novembre, Buislay monta dans un ballon, le Zéphyr, piloté par Louis Deschamps et exécuta une impeccable descente en parachute. À la fin de l’année, les Arènes Nationales changèrent de dénomination pour s’appeler Arènes Impériales.
Au Champ de Mars, Victor Franconi, fit ériger des arènes provisoires pour donner des représentations équestres. Cet hippodrome subsista jusqu’en 1853.
Le Cirque Napoléon
Louis Dejean, à la fin de 1851, obtenait l’autorisation de construire un cirque sur un terrain rue des Fossés du Temple, sur lequel la Ménagerie de Huguet de Massilia avait séjourné. Il fut construit par Jacques Hittorff
Le Cirque Napoléon[/caption]
et inauguré le 11 décembre 1852, sous le nom de Cirque Napoléon, en présence du Prince Louis Napoléon Bonaparte, qui venait de se faire sacrer Empereur. Adolphe Franconi ouvrit le manège qui vit défiler le Maître écuyer François Baucher, la belle Coralie Ducos et le clown Auriol.
À la fin de l’année 1852, avec ses deux cirques monumentaux et ses trois hippodromes, Paris pouvait s’enorgueillir d’être la capitale mondiale des Jeux de la Piste.
L’adieu à deux grandes dames du Cirque
Le même mois deux grandes écuyères de la grande époque de l’art équestre décédèrent.
La première, Philippine Tourniaire, mourut le 3 avril à Kœnisberg. Philippine, née Rödiger était née à Nancy en 1780. D’une grande beauté, cette jeune ballerine cheval voguait de succès en succès. Elle se maria avec Jacques Tourniaire, qui dirigeait une troupe équestre de renom dans les Etats germaniques. Ecuyère de haute école, elle montait en amazone. Les chroniqueurs d’alors écrivaient qu’elle obtenait de son cheval des gracieusetés à nulle autre pareille.
Le 20 avril 1852, le monde du Cirque fut endeuillé par la disparition de l’écuyère Louise Pauline Cuzent. Fille de Louis Cuzent et Marie Françoise Josèphe Fouant, dit Jolibois, elle était née le 11 octobre 1815. Son frère aîné Paul, dès l’âge de 18 ans dirigeait la troupe familiale. Sa sœur Zélie Hermantine, dite Armantine, débuta comme danseuse puis devint écuyère de voltige. Son autre sœur Marie Antoinette, elle aussi écuyère, se maria avec l’écuyer Jean Lejars. D’une beauté éclatante, elle servit de modèle au sculpteur James Pradier pour sa fameuse amazone phrygienne au sein nu. Aujourd’hui encore on peut contempler cette œuvre à Paris, au-dessus de l’un des piliers encadrant la porte principale du Cirque d’Hiver.
De Paris à Moscou
De renommée internationale, la troupe Cuzent-Lejars participa à l’inauguration du Cirque des Champs Elysées, le 30 juin 1835. Pauline fit la connaissance de François Baucher et devint une de ses élèves assidues. L’été 1836, elle fit ses débuts d’écuyère de haute école, sur la piste du Cirque des Champs Elysées. Ayant parfaitement assimilé les leçons du Maître, elle sut séduire le public parisien. Elle devint vite la rivale de Caroline Loyo. Si cette dernière avait l’aplomb et la hardiesse d’un officier de cavalerie, Pauline rayonnait avec la grâce d’une amazone du grand monde.
Avec ses chevaux de haute école Buridan, Partisan, Capitaine, et son cheval sauteur Auriol, elle triompha de Paris à Moscou, en passant par Amsterdam, Francfort, Berlin et Vienne. Grande écuyère romantique, elle laissait un petit garçon de deux ans, Jules Michel.
Le rayonnement du Cirque en 1852, du nord au sud de la France
De nombreux cirques faisaient ériger des constructions en bois pour y donner des représentations. Les frères Bouthors, célèbres pour leurs pyramides à cheval, se produisaient principalement dans les régions de l’ouest.
La troupe franco-scandinave de Didier Gautier sillonnait le nord de Douai à Tourcoing, puis l’Ouest, du Havre à Nantes. Cette année là, le premier cirque rouennais, situé rue Dugay-Trouin, construit en 1796, et qui avait servi de cadre aux spectacles des Franconi, fut transformé en auberge, en compagnie de roulage et de halage.
Cirque Bourgeois[/caption]
Les frères Bourgeois, écuyers de renom, se produisirent à Bordeaux, sur la piste du Cirque Olympique, à Bordeaux. Cet amphithéâtre équestre fut construit en 1896 à l’angle des rues Castelnaudoros et Judaïque-Saint-Servin.
À Marseille, Eugène Courtin, écuyer et professeur, organisait de temps à autres quelques représentations de cirque. Enfin, les Dieppois purent assister pendant l’hiver aux représentations du Cirque National des Fêtes de Paris dirigé par G. Loyal.
Le Cirque en 1852 : Nach Berlin
Louis Dejean terminait sa saison dans la capitale prussienne début avril. Sa troupe occupait les lieux depuis le 9 novembre de l’année précédente avec en vedette François Baucher, et Pauline Cuzent. En réalité, en mars, le gros de la troupe rentra en France, via la Belgique.
Le 15 mai, le Neues Circus-Theater, au Rosentaler Tor, avait fait sa réouverture, sous la direction de Hinné et Ducrow. Suivant la mode parisien, Berlin s’était doté aussi d’un hippodrome avec au programme des ascensions en ballon animées par les frères Godart.
Le maître Renz
Ernst Renz, maître écuyer et directeur[/caption]
Ernst Renz, ancien élève de Brilloff et de de Bach, et qui avait débuté avec sa troupe deux ans plus tôt dans les manèges de la Sophiestrasse et de la Dönhoffplatz, s’installa Porte de Brandebourg dans le cirque précédemment occupé par les écuyers français. Cet établissement en bois, copie du Cirque des Champs Elysées, appelé Cirque d’Otto, en référence à son constructeur, avait été inauguré par la troupe de Dejean en décembre 1850.
Ernst Renz avait débuté sa saison le 25 décembre 1851, et continua ses représentations jusqu’au 23 avril 1852. Afin de soutenir la concurrence de Louis Dejean, il avait engagé, en vedette, les écuyères françaises Louise Loisset et Caroline Loyo. Il s’associa avec Dejean et Loisset en octobre puis, à partir du 6 novembre, dirigea seul son établissement. D’autres cirques se produisirent à Berlin, notamment celui de Lagoutte, et de 1852 Julius Stark. Enfin, le 25 décembre, le cirque Wollschläger débutait une nouvelle série de spectacles.
Dans les autres états germaniques, il y eut encore des cirques comme celui de C. Reimschüssel, d’Adolphe Strassburger à Kempten, de Mathias Schlegel à Fribourg en avril, et d’Alessandro Guerra à Munich en août.
Le Cirque en 1852 : De Vienne à Saint-Petersbourg
Dans la capitale de l’Empire Austro-Hongrois, Alessandro Guerra donna des représentations de février à juin, en concurrence avec le Cirque Beranek. Au mois de mai, la construction du Circus Gymnasticus du célèbre de Bach installé au Feuerwerkswiese, fut vendu aux enchères et démoli.
En Suisse, la famille Knie donnait des représentations acrobatiques et funambulesques, tandis que la compagnie de Luigi Guillaume parcourait les états italiens.
À Copenhague, les Danois pouvaient visiter les ménageries de Joseph Liphard et celle de W. Frolich.
Le cirque de Soullier
Cirque Oriental[/caption]
Louis Dejean – encore lui – donna des représentations à Bruxelles, pour une quinzaine, à partir du 21 mars, avec au programme François Baucher montant Chandor, et Adolphe Franconi qui interprétait Pyrame et Thisbé, une scène équestre.
Toujours dans la capitale belge, un autre français Louis Soullier, présentait son Cirque Oriental au Théâtre du Cirque. Sur la piste Miss Ella, une jeune et sémillante écuyère venant d’Amérique, stupéfia les amateurs en crevant une cinquantaine de ballons et en tournant des sauts périlleux. Hélas, bien des cœurs furent brisés lorsqu’on apprit par des indiscrétions, que cette nouvelle étoile était un travesti du nom d’Omar Kinsley. À Gand, on put applaudir le Cirque du Nord de Didier Gautier, celui de Wollschläger et de Louis Soullier.
Un artiste belge, Léopold Verreck fut un précurseur des héros de l’air. Ce pilote d’aérostat monta un numéro intitulé le Tambour aérien. Cet audacieux aérien obtint un énorme succès, et fut engagé aux deux Cirques de Paris, puis partit en Amérique, où il brilla dans ses exercices de voltige au trapèze volant.
Le cirque du colonel
Le colonel Guedeonov engagea pour son Cirque Impérial de Saint-Petersbourg, qui avait été inauguré en janvier 1849, de nombreux artistes français comme Palmyre Annato, une des plus belles et troublantes écuyères de l’époque. Elle était entourée de sa sœur Maria, de Louis Viool, Victor Chabre, Charles Dauvergne, et un nouveau venu du nom de Théodore Rancy.
Des antipodes au Nouveau Monde
En Australie, l’Olympic Circus de l’Américain J. S Noble se produisit à Sydney, avec au programme les Asthon. Le 27 août, James Asthon eut la douleur de perdre sa femme Mary, qui mourut en couches. Elle était âgée de 19 ans.
En Amérique du Nord, le clown populaire Dan Rice dirigeait un hippodrome, avec lequel il sillonna le Mississipi et l’Ohio.
Pour la saison d’hiver, il s’installa à la Nouvelle Orléans, dans une construction qu’il baptisa Dan Rice’s Amphitheatre. Il jouait en concurrence avec le Floating Palace de Spaulding.
P. T. Barnum
Associé avec Seth B. Howes et Sherwood Stratton, le père du célèbre lilliputien, Phineas Taylor Barnum créa The Barnum’s Great Asiatic Caravan, Museum and Menagerie. Le populaire Tom Pouce et un troupeau de dix éléphants figuraient en tête d’affiche.
Le cirque sur l’eau
Alors que certains cirques et autres compagnies théâtrales voyageaient sur les grands fleuves américains par bateau, Gilbert Spalding et son associé Charles J. Rogers, eurent l’idée d’installer leur salle de spectacle sur un de ces show boat. C’est ainsi qu’il créa en 1852 le premier cirque flottant, appelé le Floating Palace. L’idée était novatrice. Elle réduisait considérablement le coût du transport, l’édification d’une construction ou le montage d’un chapiteau. Le Spalding and Roger’s Circus and Great European and American Hippodrome était construit sur une énorme péniche remorquée par un bateau à vapeur. Autour de la piste, située au centre du bateau, on pouvait compter huit cent places, plus mille dans les galeries au premier étage. L’intérieur était luxueusement décoré avec un éclairage au gaz, et chauffé par une chaudière à vapeur.
Le voyage du Floating Palace
The Floating Palace
En mars, le Floating Palace donna des représentations à Pittsburgh, puis descendit le long de l’Ohio et du Mississipi, jusqu’à la Nouvelle Orléans. La vedette du spectacle était le fameux clown William F. Wallett. Pour la saison d’hiver, celui-ci se fit engager chez le concurrent Dan Rice. Cela n’empêcha par le Floating Palace de continuer sa tournée nautique jusqu’au printemps 1865, après un incendie.
Le Cirque en 1852 : Une année riche en évènements
Ainsi, cette année de Cirque en 1852 fut une année brillante pour les spectacles équestres. Il en fut de même pour le Cirque sous l’autorité de directeurs exceptionnels comme comme Henri Franconi à Londres, Louis Soullier à Bruxelles ou Louis Dejean à Berlin, qui imposèrent un véritable style de spectacle à la française.
Dans le nouveau monde, des entrepreneurs dynamiques comme Spaulding, Rogers, Barnum ou Dan Rice sortirent des sentiers battus en empruntant les grandes voies fluviales et en utilisant le chemin de fer pour leur transport.
Dominique Denis
Adaptation de l’article paru dans Le Cirque dans l’Univers n° 210 : 1852 par Dominique Denis.
Sources : Cirque en 1852
- Artisten-Lexicon – Signor Saltarino – Düsseldorf – Lintz – 1895.
- Circus-Archäologie – Hermann Saguemüller.
- Le Corsaire – 18 juillet 1852.
- Circus in Australia – Mark Saint Léon – Geenhouse publications – Richmond Victoria – 1983.
- Circus Life and Circus Celebrities – Thomas Frost – London – Chatto and Windus – 1881.
- Cirkus i Danmark – Anders Enevig – Kobenhavn Dansk Historisk Handbogsforlag – 1982.
- Cirkus i Sverige – Arne Wählberg – Stockholms – Carlssons – 1992.
- Cirques en bois, Cirques en pierre de France – Charles Degeldère et Dominique Denis – 2 volumes – Paris – Art des 2 Mondes – 2002-2003.
- Das Busch vom Zirkus – Joseph Halperson – Leipzig – Zentralantiquariat der DDR – 1990.
- Dictionnaire illustré des mots et locutions du Cirque – Dominique Denis – Paris – Arts des 2 Mondes – 1997-1999-2000.
- Dossier chronologique de l’auteur.
- Ecuyers et Ecuyères – Baron de Vaux – Paris – Rothschild – 1893.
- Gent Circusstad – André de Poorter – Aartrijke – Uitgeverij Emiel Decok – 1992.
- Histoire illustrée des cirques parisiens d’hier et d’aujourd’hui – Adrian – Bourg-la-Reine – 1957.
- Ils donnent des ailes au Cirque – Adrian – Paris – 1988.
- La belle madame Lejars et ses sœurs Pauline et Armantine – Tristan Rémy – Paris – 1960.
- La Merveilleuse Histoire du Cirque – Henry Thétard – Prisma – 1947.
- Le Grand Livre du Cirque – Monica J. Renevey – Edito-Service – Genève -1977.
- Les Clowns – Tristan Rémy – Paris – Bernard Grasset – 1945.
- Les Jongleurs à cheval – Dominique Denis – Paris – Arts des 2 Mondes – 2009.
- Monsieur Loyal – Lorenzo Frediani – Paris – Arts des 2 Mondes – 2007.
- Quand le Kirov était un cirque – Dominique Jando – Le Cirque dans l’Univers – n° 186.
- The Circus Book – Croft-Cooke Ruppert – London – Sampson Low, Marston & Co.
- Tweehonderd jaar circus in Nederland – Collectif – Heureka Nieuwkoop – 1978.
- Victorian Arena – The Performers – John Turner – Liverpool – Lingdales Press – 1995-2000.
- Zirkus Circus Cirque – Jörn Merket – Berlin – Nationalgalerie Berlin – 1978.