Patineurs à roulettes : L’art du patinage sur roulettes au Cirque, riche d’un passé glorieux, a diverti plusieurs générations de spectateurs.
Débuts au Cirque Olympique
Il faut bien reconnaître que les artistes patineurs à roulettes ont peu inspiré les auteurs et historiens, mis à part Adrian qui, dans son livre, Le sens de l’équilibre, a consacré cinq pages sur le sujet.
Cependant, dans un article intitulé Cirque Olympique du faubourg du Temple (Le Cirque dans l’Univers – n° 12), les soeurs Vesque citaient le nom de Dumas. Cet artiste, originaire de Bordeaux, chaussé de patins à roulettes, se produisait en intermède dans la pantomime La Vivandière, au Cirque Olympique. La scène se passant en hiver, on avait installé une toile ciré sur laquelle l’artiste évoluait, imitant les ébats sportifs d’un patineur sur la glace. C’était en mars 1824.
Au mois d’octobre suivant, dans le même établissement, Gaertner, reprit le rôle du patineur créé par Dumas. Il apporta une dimension comique qui le consacra comme un des meilleurs grotesques de son époque.
L’art du patinage
Si Dumas fut probablement, le premier patineur que l’on vit sur la piste d’un cirque, il ne fut certes pas le premier à présenter des évolutions artistiques sur roulettes. L’art du patinage était pratiqué depuis longtemps par les amateurs.
Dans Les merveilles de la force et de l’adresse, Guillaume Depping consacra un chapitre sur l’historique du patinage. Il écrivait que des archéologues avaient découvert des patins en os, datant du paléolithique. Au XIIème siècle, les jeunes Londoniens patinaient, les mois d’hiver, sur la glace chaussés de patins grossiers. Il en était de même dans les pays Scandinaves, dans les pays Germaniques et aux Pays Bas.
Joseph Merlin
Le patin à roulettes fit son apparition à la fin du XVIIIe siècle. Son inventeur, le Belge Joseph Merlin (1735-1803) était un musicien passionné de mathématique et de mécanique. Installé à Londres dès 1760, il s’amusa à fixer sous la semelle de ses bottines, des roues en ligne, à la manière des rollers actuels.
Dans son livre Rollermania, Sam Nieswizski narre qu’un soir, qu’il était invité à un bal masqué à Soho Square, Joseph Merlin fit une entrée remarquée en jouant du violon en équilibre sur des patins à roulettes. N’ayant pas encore eu le temps d’inventer le frein, il tomba la tête la première dans un miroir. Il ne vécut pas sept ans de malheur, mais inspira Maximilian Lodewijk, un hollandais séjournant en France, qui en 1789, eut la bonne idée de proposer aux sans-culottes des patins à terre qui permettaient de courser les aristocrates.
Encore des inventeurs
Par la suite, d’autres inventeurs comme le français Petitbled, l’écossais John Spence, le Britannique Robert John Tyers, améliorèrent l’invention de Merlin.
En 1825, l’Autrichien August Löhner inventait des patins à trois roues.
Entre temps, en 1813, le célèbre patineur sur glace, Jean Garcin, écrivit le premier sur le sujet, un livre intitulé Le vrai patineur, ou Principes sur l’art de patiner avec grâce.
La folie des Patineurs à roulettes
Les gens de spectacle comprirent immédiatement l’intérêt des patins à roulettes.
Un des premiers spectacles mettant en scène des patineurs fut Le Peintre ou Les Plaisirs de l’Hiver qui fut donné à Berlin, en 1818. En France, il fallut attendre le ballet-pantomime intitulé Nathalie ou La laitière Suisse, créé par Robillon, qui eut lieu à Bordeaux en1823. Cette féerie fut reprise la même année Théâtre de la Porte Saint-Martin, à Paris. La mode était lancée… Des ballets de patineurs à roulettes se constituèrent, et l’année suivante Dumas faisait son entrée sur des patins au Cirque Olympique.
Le bajazzo germain Wilhelm Qualitz, qui fit son apparition au Cirque Renz, à Berlin, en 1846, devint vite populaire avec sa parodie de Pépita, la patineuse maladroite. La plupart des artistes patineurs se produisirent sur les scènes des théâtres de variétés.
L’américain William Fuller The King of Skating, fut une des gloires du genre tant sur roulettes que sur la glace, dans les années 1860. Il triompha au Théâtre Royal de Melbourne, puis parcourut le monde.
Son contemporain Jackson Haines qui fut une vedette en Russie, en Europe de l’Est et à Vienne, fut le créateur d’un style spécifique au patinage, en opposition au style classique, strict et guindé.
Patinoire aux Cirque des Champs Elysées
En 1863, James Leonard Plimpton créait le patin à quatre roues sur essieux mobiles, ce qui allait considérablement faire progresser l’art du patinage, d’abord en Amérique du Nord, puis plus tard, en Europe. Les américains devinrent des adeptes de ce sport et s’amusèrent à patiner dans des skating rinks.
Cette vogue traversa l’Atlantique et, en novembre 1875, le Cirque des Champs Elysées fut transformé en patinoire. Dans la capitale française, une quinzaine de skating rinks furent créés. Toutes les grandes villes d’Europe suivirent cette mode.
À Londres, on ne comptait pas moins de 60 patinoires. On y donnait des fêtes, des jeux, des concerts, et des spectacles de patinage. Un débouché naturel s’offrait alors pour les artistes patineurs.
Pantomimes et numéros sur roulettes
Certains directeurs de cirque entreprenants ne purent rester insensibles à cette vogue.
En 1878, Théodore Rancy présentait à Amiens une pantomime intitulée Le Carnaval sur glace à Moscou. Une troupe de 80 patineurs, dans un décor hivernal, donnait l’illusion de patiner sur de la glace.
Fernando, à Paris, en février 1879, monta une pantomime intitulée La Noce à Roulettes, avec toute la troupe chaussée de patins. Un éclat de rire à grande vitesse !
De nombreux artistes, par nature indépendants, montèrent des numéros sur roulettes comme la troupe des Patineurs Russes dirigée par Mademoiselle Frédérika, qui se produisit au Cirque Cottrelly, en 1875… Ou celle composée de Miss Theresa, Irna et de messieurs Goodrich, Curtins et Yung Bert, au Cirque Equestre de la Place de Catalogne, à Barcelone, en août 1879.
Roulements à bille
Levant Marvin Richardson, de Chicago, en 1884, reprenant l’idée de Joseph Gidman, apporta un perfectionnement notoire en utilisant les roulements à bille pour les roues… Et en plus, avec l’apport de coussinets cylindriques en caoutchouc pour maintenir les essieux en position d’équilibre. La plupart de ces patins n’existent plus, comme les modèles Luders, à grande roues.
Grâce à cette innovation de taille, et à l’adoption de patins dotés de roues de petits diamètres, les artistes patineurs purent se lancer dans les exercices de virtuosité.
Patineurs à roulettes, clowns et Bibendum
Par opposition aux artistes patineurs classiques, comme les Hannkinski, les patineurs canadiens qui se produisirent au Cirque d’Hiver de Paris en 1883, de l’américain Crowther qui vint au Cirque Alegria, à Barcelone en 1887, ou d’Amalfi, d’autres acrobates s’investirent dans le mode burlesque.
Une affiche de Lawson, représente les Avone Brothers, deux clowns acrobates, à la perruque tricuspide et maquillés à la Joe Grimaldi. Ces artistes qui étaient aussi des barristes, cascadaient gaiement sur leurs patins.
Un peu plus tard, encore dans le genre grotesque, Kynock & Smith parodiaient des débutants maladroits. Un des patineurs de la troupe Mayo, costumé en bibendum grotesque, s’envolait vers les cintres.
Harry French
Harry French, qui se produisit en mars 1894 aux Folies Bergère en tant que gentleman-monocycliste, revenait en scène pour son rappel, en patinant avec deux petites roues fixées à ses chevilles par des lanières. Il s’agissait de patins américains Luders qu’il utilisait depuis son plus jeune âge.
Cet artiste sut inspirer Georges Strehly qui dans L’acrobatie et les acrobates écrivit : « … On eut dit le Mercure de la mythologie, fendant l’espace de ses talonnières, pour aller porter les messages des habitants de l’Olympe…
A la même époque, en Amérique, Joe Pearson présentait un curieux exercice : Ce funambule roulait sur le câble à grande hauteur sur des patins à deux roues à gorge !
A la fin de ce siècle, des acrobates cyclistes, comme les French ou les Kaufmann, montèrent pour leurs familles des numéros acrobatiques sur patins. A leur suite, des équipes telles les Whirlvinds étonnèrent avec des séries de tourbillons continus.
Rire et Poésie des Patineurs à roulettes
Après un léger déclin du patinage, au début du XXème siècle, la mode des patins à roulettes revint en 1907, d’abord en Amérique, puis en Europe.
L’Hippodrome de la Place Clichy, haut lieu du cirque parisien, fut transformé en skating-rink en octobre 1909. De nombreux autres établissements accueillirent à leur tour les patineurs comme le Vel’d’Hiv, le Magic City ou le Luna Park, de même que certains cirques en province comme celui d’Abbeville ou l’Hippodrome de Valenciennes.
La leçon de patinage
A Medrano, entre 1910 et 1914, Rico et Alex Briatore s’imposèrent comme les meilleurs clowns de ce début de siècle.
Ils créèrent une inénarrable entrée intitulée la leçon de patinage. Rico était le professeur, Alex son élève. Sur ce thème aussi simple, pendant vingt minutes, les deux clowns multipliaient les glissades, cascades, renversements, et autres chutes inattendues qui valurent leur pesant de rire.
Ce sketch fut repris, avec succès, par Charles Manetti, Charley et Coco, en 1924, et ensuite par les Léonard au Cirque Pinder, en 1934.
Après la première guerre mondiale, les parisiens purent applaudir à l’Alhambra, El Reys Sisters, deux jeunes filles blondes ou la troupe des Skating Nelson qui présentait une comédie sur patins dans un décor alpestre. Parmi leurs exercices, un passage en vitesse sur une bascule, et des équilibres sur un tonneau roulant en sens inverse du mouvement des patins. La Reynolds Donegan Company présentait avec grâce des exercices de la plus haute virtuosité.
Le Nec plus ultra des Patineurs à roulettes
Selon la devise de Nicolet, de plus en plus fort, les artistes patineurs finirent par trouver la formule qui prévaut encore aujourd’hui, en présentant leur numéro sur une petite plate-forme circulaire leur permettant de se produire dans n’importe quelle condition.
En 1927, des duos comme les Plank, en tournée en Russie, F. et H. Splendid, au Cirque Schumann, à Copenhague, ou Van Horn et Inez, deux ans plus tard, à l’Empire de Paris, s’imposèrent avec cette piste circulaire.
Cette innovation fut adoptée par les Boomgartens, les Hamilton ou encore les excellents Wirlwinds.
Brown et Lahart
Le numéro de Brown et Lahart, qui vinrent à Medrano en septembre 1929 et en février 1931 fut une révélation.
L’année suivante, toujours à Medrano, Finks en compagnie d’Ayres et des Avalon sisters, innova en faisant tourbillonner simultanément ses trois partenaires. Ces artistes, ainsi que Brown et Lahart, suscitèrent bien des vocations.
De nombreux patineurs comme l’espagnol comique Rulito, Maiz et Ryles, les 4 Resua Sisters ou les 5 Rolling Stars brillèrent dans les cirques et music-halls européens. Chicago vit la naissance en 1935 d’un nouveau spectacle sportif, le roller derby qui devint le roller-catch, que les parisiens purent apprécier en 1939, puis en 1947.
Retour au Cirque et au Music-Hall des Patineurs à roulettes
À partir de 1942, des producteurs montèrent aux Etats Unis, des revues sur patins à roulettes. La revue Skating Vanities, avec Gloria Nord et Mickey Meehan en vedette, tourna pendant plusieurs années en Amérique, puis en Europe, jusqu’en 1951. Ce genre de revue fut alors remplacé par des grosses productions sur glace comme Holiday on Ice.
Malgré ces nouveaux spectacles, des artistes patineurs comme Henri French, en Amérique, ou Sagitta et Bob Laenge, les Capellini, les Rollers, en Europe, continuèrent à présenter leur numéro.
Des patineurs à roulettes étaient annoncés en tête d’affiche du cirque Medrano en mai 1949. Il s’agissait des Avalon.
On put applaudir dans ce même cirque les Shelton en septembre 1949 et octobre1951, puis Skating Olandos, en octobre 1953 et décembre 1958.
Tous ces artistes présentaient un travail acrobatique à grande vitesse composé de portés en suspension par les mains les pieds, la nuque, la mâchoire… A l’aide de staffe simple ou double, les porteurs faisaient tourbillonner leurs voltigeuses sur elles-mêmes, leur faisant frôler dangereusement la piste circulaire.
En duo, trio, quatuor, sextuor
Comme à cette époque la plupart des cirques et des music-halls changeaient de programmes tous les 15 jours, le marché des attractions battait encore son plein.
Des patineurs en duo, trio, quatuor voir sextuor, comme Francy et Noella, les Donald, Johnny Downey et Linda, les Rolwoods, The Flying Rollers, les Rassetys, ou les Rilenders montèrent des numéros plein d’entrain.
À partir de1957, on put apprécier Ravic and Babs au Palladium de Londres, les 4 Willer à Medrano, ou les Beverly, trio composé de Jacques Ritter, Henrietta et Stella Fratellini. Cette dernière que l’on retrouva sur la glace avec un Georgie, un jeune chimpanzé sur patins lors de la revue cavalcade sur glace, à Medrano, en mai 1960.
En Europe, on pouvait aussi applaudir les soeurs Tanton, Maurice French and Joy, et un nouveau quatuor composé des Olandos & the Rolling Diamond. Au Circo Americano, en tournée en Espagne, en 1958, les clowns danois, les 3 Miehe, présentaient avec succès, une amusante entrée clownesque à patins.
Reconversions des Patineurs à roulettes
Avec la démocratisation de l’automobile, la toute puissance de la télévision, et les nouvelles réglementations sociales, les cirques et les music-halls connurent alors une période difficile.
Certains patineurs s’étaient déjà reconverti avec succès, comme Capellini dans le dressage de chimpanzés, ou Chantale et Dumont qui montèrent un hilarante parodie de danseurs classiques.
De courageux artistes comme le couple allemand Fontaine, les suédois Bredos, les Noelys, les Rollendys avec Guy Favreau, les Rollskat, les 4 Hierolis, ou Milko avec Claudia puis avec Myria, tentèrent l’aventure du spectacle. Certains innovèrent comme les Skyrols, en tournée aux U.S.A. en utilisant sur piste surélevée. Quant à Reyna Rol, elle se produisait accompagnée de sa petite chienne miss Dane.
On revit encore les infatigables Beverly, ou encore les 4 Willer à Medrano. Les danseurs Gaesi et Bettina, Skating Valentines, les Skating Perlas, les Capri, les Pilar, les Larible, sous le nom des Sergio, montèrent à leur tour de brillants numéros de patins à roulettes.
Nouvelle génération des Patineurs à roulettes
Depuis 1980, de jeunes artistes comme les Davidson, les Alysin, les Bondarev, se sont senti attirés par le patinage sur petite piste. Certains viennent des écoles comme le Trio Gazotti, élèves du Cirque de Budapest. Certains sont des enfants de la balle comme les Skating Germain, de la famille Santus, ou le trio Kristal, de la famille portugaise Chen. D’autres encore, comme les Pilar ou les Willer chaussèrent les patins de leurs aînés. Ces derniers, Pierre et Michel Poissonnet, et leurs partenaires, qui se produisirent au Cirque Knie, en 1993, reprirent le numéro de leurs parents en avril 1982, au Xenon-Club de Londres.
En 1999, le Cirque Fliegenpilz sut particulièrement mettre en valeur le trio Kim originaire du Kazakhstan, en les faisant évoluer au milieu de la piste nautique.
Indépendamment des circuits du spectacle, des jeunes gens passionnés par les rollers, s’amusent à pratiquer des acrobaties sur rampe en forme de U. Ils se rencontrent lors de compétitions dans différents pays. Un de ces cascadeurs, Taïg Khris s’est imposé lors de rencontres à Bercy, de 1997 à 1999. Sur une rampe similaire, Alain Saysana et David Mandineau rivalisaient d’adresse lors du spectacle Macadam, Macadam à l’Opéra Comique de Paris, en janvier 2001.
Sur rampes inclinées
Les cinq patineurs de la troupe russe Bladers furent les invités du Cirque d’Hiver Bouglione pour la saison 2008. Ils offrirent un récital de sauts acrobatiques sur un circuit de rampes inclinées.
Au XXXXème festival de Monte-Carlo, en 2016, la nouvelles génération des Pilar, Solenn et Jonathan obtinrent un énorme succès. Cette même année, en République Tchèque, le duo britannique Peris furent les invités du Narodni Cirkus Original Berousek.
Même si le nombre d’artistes pratiquant cette discipline reste relativement modeste, on peut constater que l’art du patinage sur roulettes continue de recevoir de chaleureux applaudissements de la part du public.
Dominique Denis
Adaptation de l’article Comme sur des roulettes par Dominique Denis – Le Cirque dans l’Univers – n° 202.
Sources
- Débuts au cirque Olympique
- Dictionnaire du Cirque – Dominique Denis.
- Le Cirque Olympique – M. J. Vesque – C. U. n° 12.
- Gaertner – Tristan Rémy – Le Cirque dans l’Univers – n° 38.
- Le sens de l’équilibre – Adrian – p 69.
- F. A. – G. Depping – p 236 à 250.
- Rollermania – S. Nieswizski.
- La folie des Patineurs à roulettes
- Artisten Lexicon – Signor Saltarino – p 162.
- Les Clowns – Tristan Rémy – p 40 – 193.
- Pantomimes et numéros sur roulettes
- Fernando – T. Rémy – p 31.
- Le grand Cirque Cottrelly – Jacques Garnier – C. U. n° 32.
- El circo en la vida de Barcelona – Antonio R. Dalmau – p 27-75.
- Rancy – J. Garnier – p 140-141.
- Catalogue Le Cirque – Nicole Wild – Tristan Rémy.
- Patineurs à roulettes, clowns et Bibendum
- Affiches Amalfi – Hannkinski – Avone Brothers – Kynock & Smith – Mayo.
- Les comiques à bicyclette – Dominique Denis – p 17.
- A ticket to the Circus – Charles Filip Fox – p 27.
- Rire et Poésie des Patineurs à roulettes
- Rollermania – S. Nieswizski – p 50 à 56.
- Au Music-Hall – Gustave Fréjaville – p 164-165.
- C.P. A. – Collection Charles Degeldère.
- Le Nec plus ultra des Patineurs à roulettes
- Document Schultz.
- Comoedia – Gustave Fréjaville – 17/2/1931.
- M. C. – H. Thétard – p 331.
Sources – suite
- Retour au Cirque et au Music-Hall des Patineurs à roulettes
- Skating Vanities – Programmes.
- The Performer – avril 1947.
- Annonces Medrano – mars 1932 – mai 1949.
- La réouverture de Medrano – Adrian – Inter-Forain – 20/9/1949.
- L’Art et la Technique – Marcel Haurriac – Scènes et Pistes – n° 47.
- Echo – 1952 – 1958 – 1960 à 1970.
- Cirque Parade – Adrian – p 215.
- Le Figaro – février 1958.
- A Medrano – L. R. Dauven – Le Cirque dans l’Univers – n° 37.
- Photo-Cast – septembre 1957.
- Reconversions des Patineurs à roulettes
- Organ – 1958
- Nouvelle génération des Patineurs à roulettes
- Knie Magazine – 1993.
- Fliegenpilz – Programme 1999.
- Taïg Khris – Frédéric de Monicault – Le Figaro – 30/3/2000.
- Ils roulent pour vous – René Sirvin – Le Figaro – 18/1/1999.
- Cirque d’Hiver Bouglione – Programme 2008.
- Festival International du Cirque de Monte-Carlo – Programme 2016.
- Narodni Cirkus Original Berousek – Programme 2016.