Le premier Cirque Olympique des frères Franconi donna des représentations à Paris, en France, en Belgique et dans la Confédération du Rhin, de 1807 à 1816.
Les fils d’Antonio Franconi
Petit fils de Biago et Giulia Franconi, fils d’Antonio Franconi et d’Elizabeth Mazzucati, Antonio Laurent dit Laurent Franconi fut baptisé à Rouen le 1ermars 1776.
Son frère Jean Girard Henri, dit Henri Franconi naquit à Lyon le 4 novembre 1779.
Enfants de la balle, les deux frères, dès leur plus jeune âge, baignèrent dans l’atmosphère du cirque. Alors qu’Antonio était engagé à l’Amphithéâtre Anglais de Philip Astley de Paris, ils purent admirer les exploits équestres de John Astley qui les marqua profondément. À Paris, Lyon, Bordeaux, Rouen, Amiens, ils participèrent aux spectacles de leur père en figurant dans les pantomimes. Ils furent initiés aux arcanes de la Piste par des artistes comme Jean Etienne Bassin, Benoît Guerre ou Charles Voisin.
Devenus adultes, Laurent et Henri, furent engagés en 1798 au Théâtre de la Cité à Paris, dirigé par Cuvelier de Trye pour interpréter des pantomimes, puis réintégrèrent la cirque familial à Rouen, ainsi qu’en Belgique en passant par Bruxelles, Gand et Mons.
L’entrée dans le XIXème siècle des Franconi
Avec leur père Antonio, Laurent et Henri Franconi donnèrent des représentations au Carré Marigny situé aux Champs Elysées, à l’occasion des fêtes du 14 juillet 1801.
Ils revinrent à Bruxelles, où Henri se maria avec Jeanne Emilie Lequien. Le couple aura huit enfants : Adolphe Henri, Marie Elizabeth, Marie Laurence Victoire, Marie Euphrosine, Héloïse Hélène Adrienne, Antoine François Henri, Henri Narcise, Adolphe Laurent Alfred.
La famille Franconi retourna ensuite à l’amphithéâtre d’Astley jusqu’au 23 avril 1802, avec au programme, une Contredanse à cheval par quatre cavaliers. Le 24 janvier 1802, naissait Adolphe Henri, le fils aîné d’Henri Franconi et de Jeanne Emilie. Antonio Franconi avait fait construire un manège dans le jardin de l’ancien couvent des Capucines, devenu un parc d’amusement.
Le Journal de Paris du 15 germinal an XI annonçait : « …Grands exercices d’équitation, de danse et de voltige sur les chevaux exécuté par la troupe des citoyens Franconi fils… »
La troupe Franconi se produisit ensuite à Stuggart en janvier 1803, puis à Paris, et à Rouen en septembre.
Les frères Franconi directeurs de l’Amphithéâtre
Laurent Franconi se maria avec Marie Catherine Cousis, le 31 mars 1803. Ils auront trois enfants : Marie Emilie, Jean Henry et Michel Dominique Victor, dit Victor
Leur père Antonio, atteint de demi-cécité, les deux frères Franconi prirent de plus en plus de responsabilité dans la direction du Théâtre de l’Equitation.
De retour dans la capitale, après un séjour à Rouen et Bordeaux, le cirque mit à l’affiche, à partir du 20 mai 1804, la grande pyramide et Madame Angot, une scène équestre et dialoguée, puis les quatre Mont-au-Ciel, le tableau des Akanças, le paysan normand, le taillleur gascon, le cheval Flamboyant, et des feux d’artifice. En septembre, apparut le cheval Phénix, et le mois suivant, un nouveau personnage comique appelé claune, une déformation du mot clown.
Ses deux fils mariés, Antonio Franconi céda à ses fils, en 1805, la direction effective de l’amphithéâtre. Au mois de juin, les frères Franconi partirent en tournée et donnèrent quelques représentations à Strasbourg. Pendant ce temps, la troupe Cazerti et Ferzi, se produisit dans le manège des Capucines, d’août à septembre.
Le premier Cirque Olympique des frères Franconi
Les Franconi reprirent leurs tournées en 1806. Ils séjournèrent à Strasbourg et Rouen en octobre avec au programme le cheval infernal.
À Paris, la famille Franconi signa un bail avec François Delpont propriétaire d’un terrain situé dans le jardin de l’ancien couvent des Capucins, entre la rue Saint-Honoré et la rue du Mont-Thabor. Monsieur Delpont s’engagea à leur construire un cirque pour remplacer leur manège. Les frères Franconi obtinrent un privilège d’exploitation les autorisant à présenter des spectacles dits de curiosités ainsi que des pantomimes.
Conçu par les architectes Baptiste Coignet et Maximilien Heurtault, ce premier Cirque Olympique pouvait recevoir 1.200 spectateurs. Il y avait une piste de 17,16 mètres de diamètre et une scène de 22 mètres de large sur 20 mètres de profondeur, six gradins et deux étages de galerie.
Il est intéréssant de noter que pour la première fois à Paris, le mot cirque était employé pour désigner une salle de spectacle dédiée à des spectacles équestres. Quant au terme olympique, il fait référence à l’antiquité grecque qui était devenue à la mode sous l’Empire. Rappelons qu’à Londres, Philip Astley avait baptisé en 1803 son nouvel amphithéâtre de Westminster The Olympic Pavillon, qui devint par la suite Olympic Saloon, Astley’s Middelsex Amphitheatre et Astley Theatre.
L’ouverture
L’inauguration du premier Cirque Olympique eut lieu le 28 décembre 1807. Pour la circonstance, les Franconi fils présentèrent une pantomime équestre en quatre tableaux intitulée La lanterne de Diogène, une allégorie de l’auteur Jean Guillaume Antoine Cuvelier à la gloire de Napoléon Bonaparte.
Les Franconi montèrent en 1908 d’autres pantomimes écrites par Henri Franconi en collaboration avec d’autres dramaturges comme Desorme ou Cuvelier. En janvier, l’affiche annonçait des scènes équestres comme Bizaldini, le calife généreux, en mars Les Français en Pologne, en avril Les quatre fils d’Aymons, en mai Les centaures, en juin L’Equitomanie… Puis en août Fra Diavolo, en septembre La bataille d’Aboukir, en novembre Cavalo Dios, et en décembre Barberousse le balafré.
S’affirmant comme un écuyer de premier ordre, Laurent brilla dans de nombreuses acrobaties à cheval telles La croix à quatre appellée Les forces d’Hercule où il tenait un voltigeur debout sur ses épaules et les deux autres par la taille. Il présentait également les chevaux comme l’Aimable obéissant au doigt et à l’oeil de son maître ou le cheval infernal. Quant à Catherine, son épouse, vêtue d’une légère tunique à l’antique, obtenait régulièrement le même succès dans ses exercices de jonglerie à cheval.
Cette année là, Catherine mit au monde Marie Emilie. La troupe Franconi, sous la direction de Bassin père, se produisit à Rouen, d’octobre à janvier 1809.
Du premier Cirque Olympique au Théâtre Gymnique
Le premier Cirque Olympique présenta, en janvier 1809, des pantomimes militaires telles L’entrée triomphale des Français à Madrid, en mars, La prise de Corogne, en avril Le pont infernal avec en vedette le cerf Coco, en juin Le demoisel – sic – et La bergerette, en novembre Le maréchal de Turenne, puis la reprise de La bataille d’Aboukir. Encore une naissance : celle de Jean Henri, le fils de Laurent Franconi et de Catherine.
Les Franconi annonçèrent en janvier 1810 une folie de carnaval intitulée Les chevaux vengés, et en février Gérard de Nevers et La belle Euriant. Ils s’installèrent le 3 avril 1810 au Carré Marigny à l’occasion du mariage de Napoléon avec Marie-Louise d’Autriche. Au programme : Le génie de la paix (ou La France et l’Autriche réunie). De retour au Cirque Olympique ils mirent à l’affiche Le passage du pont de Lodi, en mai La meule de foin, en juin Soubakoff. Ils furent invités par l’empereur à Trianon avec le cerf Coco.
Ils partirent en septembre pour Strasbourg et Bruxelles, puis présentèrent en novembre dans la capitale la pantomime équestre Martial et Angélique.
Tandis que leur père Antonio assurait seul la direction du Cirque Olympique, les deux frères Franconi se produisirent en février 1811, au Théâtre Gymnique à la Porte Saint-Martin. A l’occasion de la naissance du roi de Rome, le 20 mars, Antonio organisa, le 3 avril, une fête pour les militaires aux Enfants de Mars, et ses fils, deux jours après, donnèrent un spectacle intitulé L’enfant d’Hercule.
L’éléphant Baba au premier Cirque Olympique
Les frères Franconi retournèrent à Strabourg où naquit le 29 juin 1811 Michel Dominique Victor, dit Victor, le fils de Laurent Franconi et de Catherine. Ils séjournèrent de l’autre côté du Rhin à Frankfort et à Cassel.
De son côté, Antonio, au mois d’août, baptisa son établissement Théâtre du Cirque Olympique. Il y eut encore, en 1811, une naissance le 11 novembre, celle de Héloïse Hélène, la fille d’Henri Franconi et de Marie Emilie.
Les deux frères retrouvèrent leur père Antonio dans leur manège. Il y eut en janvier 1812, L’enfant prodige, en février Don Quichotte et Sancho Pança, la reprise de Martial, et Le pont infernal animé par le cerf Coco. Autre grande nouveauté : l’éléphant Baba qui débouchait une bouteille, attrapait avec sa trompe des pommes lancées au vol et tournait la manivelle d’un orgue de Barbarie.
Les pantomimes se succédèrent avec en mars, Le volcan, puis La mine beaujone, en mai La femme magnanime, et Le siège de la Rochelle, en juin Geneviève, en juillet Frédégonde et Brunehaut, en août, Les 3 aigles, en septembre Maria, puis Richard coeur de lion, en novembre Le rénégat, et en décembre, La famille d’Amincourt.
La direction réussit à obtenir le privilège d’être classé dans la catégorie des théâtres secondaires, ce qui lui permet de payer de taxes moins importantes.
Les Franconi débutèrent l’année 1813 avec la pantomime Arsène, puis en février, Guliver et en avril Les bédouins. Le 14 juillet ils donnèrent une représentation pour divertir le petit Roi de Rome.
Les deux cerfs
Ils reprirent ensuite leurs tournées à Bruxelles, à la fin du mois à Angers, en août à Nantes et en septembre à Rouen. Laurent se distingua dans sa course turque, avec son cheval arabe Le Glorieux et deux cerfs. De retour dans la capitale, les deux frères donnèrent en novembre la Pucelle d’Orléans et le mois suivant La dame du lac.
L’année suivante, les Parisiens assistèrent en janvier le spectacle Saint-Hubert, en février Le maréchal de Villars, en mars Lolotte et Fanfan. Après, l’occupation du cirque par les troupes de Wellington, l’abdication de Napoléon, l’arrivée sur le trône de Louis XVIII, le premier Cirque Olympique fut remis en état le 30 avril 1814.
Les deux frères mirent en piste un tableau historique L’entrée d’Henri IV à Paris. En juin, il y eut La jeunesse du grand Condé, La paix, et L’antre de Cacus. Le 16 juin naissait Antoine François Henri, le fils d’Henri Franconi. En septembre, ce fut la reprise de Saint-Hubert, le mois suivant La mort du capitaine Cooket en novembre, Les martyrs. Les Franconi reçurent officiellement l’autorisation du ministère de l’intérieur d’ajouter à leur répertoire des pantomimes chevaleresques.
Entre temps, le 20 octobre, à Paris, mourait Philp Astley le créateur du concept du spectacle de cirque.
Dernières saisons du premier Cirque Olympique
Les frères Franconi annoncèrent le 28 janvier 1815 une pantomime comique Isoline des Cyprés, en février Diane et les satyres, en mars Orsino. La famille Franconi fut en grand deuil le 18 avril, quand Laurent et Henri perdirent leur mère Elizabeth Franconi, née Mazzucati
Les représentations reprirent en avril, avec Le pic terrible. En septembre, on vit à l’affiche, Le chef écossais, en novembre, la reprise de Martial et Angélique, et à la fin du mois Robert le diable, écrit et mis en scène par Henri Franconi.
Entre-temps, les frères Franconi s’étaient produits à Amiens. Le 14 février 1816 les Franconi annonçaient la pantomime Sancho dans l’île de Baratria et en mars Clarisse et Lovelasse. Le 20 mars, Laurent Franconi eut la douleur de perdre son épouse Marie Catherine.
À Paris
La dernière représentation du premier Cirque Olympique à Paris eut lieu le 27 mai 1816. Cette année là, madame B*** née de V. faisait paraître un livre : Les animaux savants ou exercices de MM Franconi, du cerf Coco, du cerf Azor, de l’éléphant Baba.
Les deux frères partirent en juin à Rouen, Orléans, puis Bourges, Châteauroux, et à Gand du 18 septembre au 10 octobre. La troupe présenta Les grandes manœuvres de cavalerie, Les frères meuniers, Rognolet et le tailleur gascon, le cerf Coco et Le menuet de Robert le diable.
Dans la troupe se distingua un écuyer de grande valeur : François Laribeau, dit monsieur Paul. À Paris, pressés par le Ministère des Finances qui voulait occuper les lieux, les frères Franconi furent obligés d’abandonner leur premier Cirque Olympique.
En août 1816, ils achetèrent l’ex-Amphithéâtre d’Astley rue du Faubourg du Temple. Ce sera le deuxième Cirque Olympique des frères Franconi….
Dominique Denis
Sources
- Les fils d’Antonio Franconi
- Antonio Franconi : cirque et dynastie – circus-parade.com
- Dossiers chronologiques de l’auteur.
- Franconi aux Capucines – Tristan Rémy – Le Cirque dans l’Univers – n° 17.
- Notes Philippe Husson.
- Le journal de Paris du 1 pluviose an X – 14 frimaire an XI – 15 germinal an XI – 18 frimaire an XI.
- Cirques en bois, Cirques en pierre de France – Charles Degeldère et Dominique Denis.
- Circus-Archäologie – Hermann Saguemüller.
- Antonio franconi e la nascita del circo – Giancarlo Pretini.
- Le Cirque en France au XVIIIème siècle – Dominique Denis.
- Quelques notes sur Antonio Franconi – Tristan Rémy – Le Cirque dans l’Univers – n° 44.
- La dynastie des Franconi – Tristan Rémy – Le Cirque dans l’Univers – n° 76.
- Le Cirque Franconi – Une chambrière en retraite.
- Ecuyers et Ecuyères – Baron de Vaux.
- La Merveilleuse Histoire du Cirque – Henry Thétard.
- Notes Paul Haynon – Archives Nationales de France.
- Une monographie de cirque – Marcel Hauriac – La Rampe – 15/11/1931.
- Les Franconi en Province – Leurs passages à Amiens – Jean Delannoy – Le Cirque dans l’Univers – n° 19.
- Les Rancy et les Franconi, deux siècles de cirque et de chevaux – Joël Piednoel – Plaisirs Equestres – décembre 1977.
- Le Cirque à Bordeaux – Archives Municipales de Bordeaux.
- Antonio Franconi dans la vie et les spectacles à Rouen – Christian Oger.
- Journal d’un voyage en France (1783 – 1786) – Anne Francesca Cradock.
- Mémoires secrets – Louis Petit de Bachaumont.
- Franconi Fils : l’entrée dans le XIXème siècle
- Le journal de Paris du 20 floréal an XII – 2 prairial au 30 fructidor an XII.
- Journal des débats – 4 octobre 1804 – Août à septembre 1805.
- Franconi aux Capucines – Tristan Rémy – Le Cirque dans l’Univers – n° 17
- Antonio Franconi dans la vie et les spectacles à Rouen – Christian Oger.
Sources – suite
- Le premier Cirque Olympique des frères Franconi
- Le Cirque Franconi – Une chambrière en retraite.
- Histoire des petit théâtres – Nicolas Brazier.
- Architectures du Cirque – Des origines à nos jours – Christian Dupavillon.
- Premiers cirques parisiens – Dominique denis – circus-parade.com.
- Origines du Cirque Olympique 1807 – 1816 – Henri Lyonnet – Bulletin de la Société du Théâtre.
- Antonio Franconi : cirque et dynastie – circus-parade.com.
- Quelques notes sur Antonio Franconi – Tristan Rémy – Le Cirque dans l’Univers – n° 44.
- La dynastie des Franconi – Tristan Rémy – Le Cirque dans l’Univers – n° 76.
- L’ouverture
- Histoire illustrée des cirques parisiens – Adrian.
- Cirques en bois, Cirques en pierre de France – Charles Degeldère et Dominique Denis.
- Circus-Archäologie – Hermann Saguemüller.
- Antonio Franconi e la nascita del circo – Giancarlo Pretini.
- Les jongleurs à cheval – Dominique Denis.
- Le cirque commence à cheval – Adrian.
- Dossiers chronologiques de l’auteur.
- La lanterne de Diogène – livret.
- Du premier Cirque Olympique au Théâtre Gymnique
- Antonio Franconi : cirque et dynastie – circus-parade.com.
- Histoire des petit théâtres – Nicolas Brazier.
- Circus-Archäologie – Hermann Saguemüller.
- Dossiers chronologiques de l’auteur.
- Antonio Franconi dans la vie et les spectacles à Rouen – Christian Oger.
- Quelques notes sur Antonio Franconi – Tristan Rémy – Le Cirque dans l’Univers – n° 44.
- La dynastie des Franconi – Tristan Rémy – Le Cirque dans l’Univers – n° 76.
- Histoire illustrée des cirques parisiens – Adrian.
- Cirques en bois, Cirques en pierre de France – Charles Degeldère et Dominique Denis.
- Le Moniteur Universel 1811.
Sources – suite
- L’éléphant Baba au premier Cirque Olympique
- Premiers cirques parisiens – Dominique Denis – circus-parade.com
- Antonio Franconi : cirque et dynastie – circus-parade.com
- Le volcan – livret.
- La femme magnanime – livret.
- Circus-Archäologie – Hermann Saguemüller.
- Les tournées des Franconi – Caroline Hodak – Le Cirque dans l’Univers n° 179.
- Le renégat – livret.
- Les deux cerfs
- Dossiers chronologiques de l’auteur.
- Saint-Hubert – livret.
- Antonio Franconi dans la vie et les spectacles à Rouen – Christian Oger.
- La dynastie des Franconi – Tristan Rémy – Le Cirque dans l’Univers – n° 76.
- Dernières saisons du premier Cirque Olympique
- Premiers cirques parisiens – Dominique Denis – circus-parade.com
- Histoire des petit théâtres – Nicolas Brazier.
- Histoire illustrée des cirques parisiens – Adrian.
- Le cirque olympique sous la restauration : un théâtre à grand spectacle – Jean-Claude Yon.
- Les Franconi en Province – Leurs passages à Amiens – Jean Delannoy – Le Cirque dans l’Univers – n° 19.
- La dynastie des Franconi – Tristan Rémy – Le Cirque dans l’Univers – n° 76.
- Le chef Ecossais – livret.
- Cirques en bois, Cirques en pierre de France – Charles Degeldère et Dominique Denis.
- Le cirque commence à cheval – Adrian.
- Robert le Diable – Pierre André – Plaisirs Equestres – décembre 1977.
- Histoire illustrée des cirques parisiens d’hier et d’aujourd’hui – Adrian.
- Gent Circusstad – André De Poorter.
- Circus-Archäologie – Hermann Saguemüller.
- À Paris
- Antonio Franconi : cirque et dynastie – circus-parade.com
- Les animaux savants ou exercices de MM Franconi, du cerf Coco, du cerf Azor, de l’éléphant Baba – madame B*** née de V.
- Le cirque olympique des Franconi à Orléans – Jacques Garnier – Le Cirque dans l’Univers – n° 76.
- Robert le Diable – Pierre André – Plaisirs Equestres – décembre 1977.
- Dossiers chronologiques de l’auteur.
À Lire :
Les animaux savants ou exercices de MM Franconi, du cerf Coco, du cerf Azor, de l’éléphant Baba – madame B*** née de V. – Paris – Nepveu – 1816.