Sampion Ier Bouglione (1875 – 1941), dompteur réputé, assisté des 4 fils, réussit en quelques années seulement, à s’imposer comme un des plus grands directeurs des cirques du monde.
Joseph, dit Sampion Ier Bouglione
Joseph, dit Sampion Ier Bouglione – comme dans les familles royales, il est d’usage de numéroter les prénoms afin de mieux les situer dans le temps – s’était illustré dans les foires au début du XXème siècle. Il était né à Chaumes-en-Brie en Seine-et-Marne, le 20 octobre 1875.
Son père Jean-Baptiste, dit Scipion Bouglione (16 aout 1833 – 1913) était marié avec Anne Jeanne Marie Sintot. Son grand-père, Jean-Baptiste, dit Michel, selon certaines sources, né dans la dernière décennie du XVIIIème siècle, exerçait déjà le métier de dompteur. Dans divers documents, son nom fut orthographié Bogliono, Boglioni ou Bouglione. Son épouse s’appelait Félicité Desert.
Sampion Ier Bouglione était marié avec Alexandrine Durand, née le 22 novembre 1873 à Sacy-le-Grand dans l’Oise. Leur plus grande richesse furent leurs enfants : Germaine Jeanne (1899), Alfred dit Alexandre (7 juillet 1900 à Arlon en Belgique), François (11 décembre 1901 à Bar-le-Duc), Joseph (17 février 1904 à Paray-le-Monial), Firmin (le 21 juin 1905 à Manage en Belgique), Nicolas dit Sampion II (26 juillet 1910 à Vlissingen aux Pays-Bas), Germaine Odette (25 juin 1916 à Lannion).
Le Palais des Lions
Dans son livre Histoire illustrée des cirques à Bruxelles, Jean Léo citait La Fosse aux Lions de Joseph Bouglione qui se produisait en Belgique en 1900 avec sa ménagerie de 17 mètres de façade sur 7 mètres de profondeur. Son cheptel était alors constitué de dix bêtes. Pour la parade, étaient exhibés des singes, des serpents et un pélican. Par la suite, la ménagerie prit le nom de Palais des Lions. Sampion Bouglione Ier présentait sa ménagerie dans les foires de France, et du Benelux.
Dans Coulisses et secrets du cirque, Henry Thétard évoquait les contrecarres dans les foires d’avant la première guerre mondiale entre les Bouglione et les Amar. Rosa Bouglione narra dans ses Mémoires comment Sampion Bouglione Ier fut attaqué violemment par son ours Goliath.
Sampion et Alexandrine vécurent un moment tragique quand leur fils François mourut le 28 octobre 1902 à Buren – canton de Soleure – en Suisse. Il n’avait que onze mois.
Plus tard, Joseph, dit Sampion Ier Bouglione et Alexandrine Durand se marièrent officiellement le 14 août 1907 à Saint-Gilles-Les-Bruxelles. Lors de terrible première guerre mondiale, la situation devint catastrophique à tel point que Sampion dut faire abattre ses lions ne pouvant plus les nourrir. Cependant, en 1919, il put acquérir deux lionnes, un ours et une hyène et se produisit avec succès à la foire de Caen. En parallèle, il dirigeait une patinoire ambulante l’American Skating. Les années suivantes, il voyagea aux Pays-Bas et en France.
Les Bouglione au Cirque Perié
Le dompteur Sampion Ier Bouglione, en 1924, entreprit une collaboration avec Pierre Périé (qui s’écrit également Perier ou Périer), une grande figure du cirque français. Ce dernier avait débuté comme clown en compagnie de partenaires prestigieux comme Palisse ou Dario et s’était produit dans de grands établissements comme Medrano à Paris ou Ciniselli en Russie. Il fit ses débuts de directeur en 1902 avec Diter.
Assisté de ses fils, Sampion Ier Bouglione, il animait la partie animalière du spectacle avec neuf lions et lionnes, deux hyènes, deux pélicans une panthère, un ours brun, et six singes. Au cours de cette saison, tous étudièrent avec soin le fonctionnement d’un cirque itinérant. Sampion Ier Bouglione établit ses quartiers d’hiver à Béziers, et de son côté, son fils Joseph était engagé avec son numéro de fauves dans des établissements tels que l’Alhambra de Paris ou le Coliseo de Lisbonne.
Le stade du capitaine Buffalo Bill
En 1926, Sampion acheta au dompteur Marcel Chaffreix, un lot d’affiches de la dernière tournée de Buffalo Bill en France en 1905. Ce dernier, qui tenait ces lithographies de Georges Mège, avait tenté, au mois de mai, de lancer un spectacle avec cette enseigne en région parisienne, mais sans succès.
Déterminé, Sampion Ier loua le vélodrome de Belfort, et la première du Stade du capitaine Buffalo Bill eut lieu le 2 août 1926 en matinée. Le spectacle était composé de jeux de Far-West et de fauves présentés par Joseph Bouglione,
Avec les premières recettes, Sampion fit l’acquisition d’un chapiteau et entreprit une tournée en France. La troupe comprenait alors outre l’équipe de cow-boys et Indiens maisons, l’équilibriste sur cycle Ottago Bill et les sauteurs à la bascule Rascos.
La saison 1927, le Stade du capitaine Buffalo Bill en France fut un succès. Le spectacle, présenté sur trois pistes, fut renforcé par de nouvelles attractions comme les trapézistes Marzo, Yamada et miss Canada, le clown Ovaro et la troupe sauteurs marocains Cherifian. A Toulouse, la famille Frederico Zavatta fut engagée pour terminer la saison.
Le 21 mai 1928, ce fut la grande première parisienne du Stade du capitaine Buffalo Bill installé Porte Champeret. Pour renforcer le programme, Sampion avait fait venir la cavalerie de Jean Houcke et les éléphants de Rossi. Au mois d’août, le stade s’installa à Lyon. Sampion Ier Bouglione débuta la saison 1929 en Espagne, puis reprit les routes de France, de Belgique et des Pays-Bas.
Nouvelles enseignes
Avec sa famille, Sampion Ier Bouglione se produisit au cirque du Jardin d’Acclimatation de Paris puis au Cirque Municipal de Troyes, du 14 mars au 13 avril 1930, sous le nom du Stade du capitaine Buffalo Bill.
L’année suivante, Il décida de changer d’enseigne, et entreprit une nouvelle tournée sous le nom de Compagnie Générale des Cirques Internationaux – Hambourg Circus avec des animaux et une troupe d’Africains.
La firme Bouglione, en tournée en mars 1932, en Bretagne, prit le nom de Jim Pinder, puis de Cirque Belge William Pinder. Le mois suivant, le chapiteau fut appelé Cirque Franco-Belge.
Appréciant les qualités de ses quatre fils, Sampion Ier leur confia la direction de l’entreprise, et en 1933, le chapiteau s’appela Cirque Franco-Belge des 4 frères Bouglione, puis Cirque des 4 frères Bouglione. Le cirque donna des représentations en juillet en Île-de-France, et au mois d’août, à Paris, Porte d’Italie et Porte de Versailles. Avant les représentations, les badauds pouvaient assister à une cavalcade dans la plus grande tradition des cirques anglais d’antan. Outre les numéros d’animaux présentés par les fils de Sampion Ier, le programme était animé par d’excellentes attractions comme les jongleurs Mongador, les soeurs Bassi, et des troupes chinoises, marocaines et africaines. La ménagerie s’était considérablement étoffée avec un rhinocéros, un hippopotamme, deux éléphants, des manchots et une cavalerie exotique.
Sampion père reprit l’enseigne Buffalo Bill en 1934 à Marseille puis en banlieue parisienne, tandis que son fils Joseph dirigeait le Cirque Albert Rancy.
Les débuts au Cirque d’Hiver
Le 20 octobre 1934, la famille Bouglione prenait la direction du prestigieux Cirque d’Hiver de Paris qui, d’octobre 1923 à mai 1934 avait été dirigé par Gaston Desprez. Pour l’occasion, fut constitué, à Lizy-sur-Ourcq, la société d’exploitation de spectacles des quatre frères Bouglione, dont le siège social fut domicilié 110 rue Amelot à Paris.
La première eut lieu le 20 octobre 1934. Le spectacle était copieux avec la cavalerie et les éléphants de Franz Althoff. Deux équipes de clowns animaient la représentation : Les Dario Bario et le trio Carlo, Mariano et Pastor, et en plus la participation du populaire Bilboquet. De nouvelles attractions apparurent ensuite comme la troublante Chrysis de la Grange, les trapézistes volants Concello, les acrobates à cheval Caroli, les Sobolewski, et le duo Antonet et Béby. La saison continua en 1935 avec une fastueuse pantomime nautique La Reine de la Sierra mise en scène par Géo Sandry. Le 22 février, les Parisiens découvrirent un nouvel Auguste : Achille Zavatta et son partenaire le clown Despard. Il y eut encore le dompteur Sailor Jackson et le duo Alex et Filip Cairoli jusqu’en avril.
La Perle du Bengale
La famile Bouglione, équipée de rutilants camions de dix à quatorze mètres de long, repartit en tournée en 1935 avec leur chapiteau sous l’enseigne du Grand Cirque Ménagerie des 4 frères Bouglione. Parmi les nouvelles atractions se distinguaient les jockeys Reinsch et les Dario Bario. La cavalerie était menée par Nicolas, dit Sampion II, les fauves par Firmin et les éléphants par Joseph. Après la réouverture en septembre 1935, les Bouglione mirent à l’affiche le 20 décembre la féérie La Perle du Bengale, qui allait obtenir un succès incontestable, jusqu’au 27 avril 1936.
La Perle du Bengale fut annonçée pour la tournée du chapiteau en 1936. La partie clownesque était animée par Despard et Achille Zavatta. Le cirque vint à Lyon en juin puis visita la Bretagne. À Paris, la reprise du Cirque d’Hiver eut lieu le 11 septembre 1936. La dompteuse madame Giron fut attaquée par un des ses tigres et fut sauvée par Sampion Ier Bouglione et Max Stollé. Le 29 octobre, ce fut la première de la pantomime La Princesse Saltimbanque. Une autre féérie, Le courrier du Texas fut lancée le 19 mars 1937.
En Belgique et Hollande
Après la France, en début de saison, le Cirque des 4 frères Bouglione entreprit en 1937 une grande tournée en Belgique avec La Perle du Bengale. Le cirque planta ses chapiteaux à Bruxelles, en octobre, boulevard Jamar, puis au Cirque Royal pour la fin de l’année.
Pendant ce temps, le Cirque d’Hiver de Paris, sous la direction artistique de Kikano, réouvrait ses portes en septembre 1937 avec les Dario Bario et la reprise de La Perle du Bengale. Le mois suivant, le dompteur Anton présenta La Paix dans la Jungle d’Alfred Court, puis on put applaudir les jongleurs Revehro.
Pour la fin de l’année, la pantomime Les aventures de la Princesse de Saba fut mise à l’affiche jusqu’à Pâques 1938.
À Scheveningen
La tournée Bouglione continua à l’Hippodrome d’Anvers, du 8 janvier au 7 février 1938, puis en Belgique et aux Pays-Bas.
Plusieurs évènements survinrent : Firmin Bouglione fut sévèrement blessé par un de ses lions à Nimègue le 4 juin ; le mois suivant, la troupe s’installa au cirque de Scheveningen ; enfin, la famille Bouglione fut en deuil lors de la disparition d’Alexandrine Bouglione, née Durant, l’épouse de Sampion Ier Bouglione, le 11 aout 1938 à Paris.
La saison Bouglione 1938 se termina au Cirque Royal de Bruxelles, jusqu’au 15 janvier 1939. Au programme : La Reine de la Sierra, la troupe équestre Belley et Caroli, les clowns Babusio et la cavalerie de Emmy Truzzi.
French Barnum Circus
Entre-temps à Paris, le Cirque d’Hiver reprit ses spectacles avec le trio Michel, Achille Zavatta et Martin Sosman et une pléiade d’attractions comme les trapézistes volants Amadori, puis la reprise de La Perle du Bengale en octobre, et la nouvelle production L’Idole de Shangaï avec la vedette de cinéma Milly Mathis et Fernand Sardou jusqu’en mars 1939.
Sous l’enseigne The French Barnum Circus la saison avril 1939 se passa dans la province du Limbourg aux Pays-Bas. En parallèle, le Cirque d’Hiver de Paris présenta jusqu’en avril 1939 l’hippopotame Bengali, Little Walter Junior, et la troupe Raspini aux échelles.
La reprise parisienne de la saison d’hiver 1939 fut tardive, avec en décembre le jongleur à l’envers Chiezel, les fauves et les éléphants de Pinder. La fin de l’année fut placée sous le signe de l’inquiétude depuis que les armées allemandes avaient envahis la Pologne.
Marches allemandes
Après quelques représentations en janvier 1940, le Cirque d’Hiver fit relâche.
La guerre se déroula à la vitesse de l’éclair. Alors que les Bouglione séjournaient, en mai 1940, près de Groenendael, dans les environs de Bruxelles, une partie de la ménagerie et le matériel roulant furent réquisionnés par les envahisseurs. La famille retourna alors dans sa remise à Pavillon-sous-Bois.
Malgré ces tragiques évènements, la vie reprit son cours. Le chapiteau retourna sur les routes de France, avec une troupe comprenant les trapézistes volants Algévols et les clowns Fratellini. Le Cirque d’Hiver de Paris fut investit du 20 décembre 1940 au 20 mars 1941 par la firme allemande Busch, dirigée par Paula Busch, sa fille Micaëla et Emil Walker. La même entreprise prit également la direction de Medrano.
Sampion Ier Bouglione
Enfin, Sampion Ier et ses fils récupérèrent enfin le Cirque d’Hiver, et le 22 mars 1941, ils offrirent aux parisiens un magnifique spectacle avec les trapézistes volants les Alizés et les Alixon, les Dario-Bario et le duo Despard et Charley.
Malgré les difficultés pour circuler, le chapiteau Bouglione reprit la route. Le chanteur poète Charles Trenet fut la vedette de la saison 1941. Il était entouré d’un excellent programme comprenant les trapézistes volants Zemganno, le magicien Carrington et les clowns Babusio, puis Pipo et Rhum.
En cours de tournée, le 25 septembre 1941, Joseph, dit Sampion Ier Bouglione décéda à Saint-Florent dans les Deux-Sèvres. La grande famille Bouglione venait de perdre son patriarche qui, le premier, s’était lancé dans la grande aventure du Cirque.
Les 4 frères Bouglione prirent la relève et, bravant mille difficultés, apportèrent de grands moments de bonheur aux spectateurs du monde entier.
Dominique Denis
Sources
- Joseph, dit Sampion Bouglione Ier
- Arbre généalogique par Alain Nénert.
- Actes d’état civil – recherches de Paul Salsaca.
- Notes sur le cimetière de Lizy-sur-Ourcq – notes de l’Auteur.
- Passeport de Jean-Baptiste Bougliono – 18 septembre 1868.
- Histoire illustrée des cirques à Bruxelles – Jean Léo.
- Coulisses et secrets du cirque – Henry Thétard.
- Le Palais des Lions
- L’ascension de la famille Bouglione – Henry Thétard – Voilà – n° 202.
- Parades foraines – Claudia Vivaldi.
- Registre matricule : Joseph et François Bouglione – recherches de Paul Salasca.
- Grand américain skating – La Vendée Républicaine – 12/07/1919.
- Dompteurs et dompteuses de la belle époque – Charles Degeldère.
- Les ménageries foraines – Alain Gibelin.
- Les cirques des frères Amar – Dominique Denis.
- Coulisses et secrets du cirque – Henry Thétard.
- Les Bouglione au Cirque Perié
- Le Cirque d’Hiver – Sampion Bouglione – Marjorie Aiolfi.
- Le Petit Journal – n° 1935.
- Zoo circus des frères Court – Dominique Denis.
sources – suite
- Le stade du capitaine Buffalo Bill
- Carnets des demoiselles Vesque – mai 1926
- Programmes Bouglione – 1926 à 1929
- Un mariage dans la cage aux lions – Rosa Bouglione.
- Sur les chemins des grands cirques voyageurs – Adrian.
- Bouglione – une dynastie de cirque – Henk van den Berg.
- Une vie de clown – souvenirs de Rolph Zavatta – Jacques Garnier & Suzanne Aubin-Zavatta.
- Quand Bouglione s’appelait Buffalo Bill – Christian Hamel – Le Cirque dans l’Univers – n° 262.
- Gentcircusstad – André De Poorter.
- Nouvelles enseignes
- Programmes Bouglione – 1930 à 1934
- Sur les chemins des grands cirques voyageurs – Adrian.
- Carnets Vesque – mai 1930.
- Cirques en bois, cirques en pierre – Charles Degeldère et Dominique Denis.
- Annonces cirque belge William Pinder – Ouest-France – 16 et 19 mars 1932.
- Pinder – direction Charles Spiessert – Dominique Denis.
- Chronique de cirque – Henry Thétard – Le Petit Parisien – 12/07/1933.
- Annonces de presse Bouglione à Paris – août 1933.
- Annonces de presse Bouglione à Marseille – mai 1933.
- La magie du cirque – Jacques Rancy.
-
sources – suite
- Le Cirque d’Hiver
- Journal Officiel – 26/09/1934.
- Programmes Bouglione – 1934 à 1937.
- Chronique de cirque – Henry Thétard – Le Petit Parisien – 1934 à 1937.
- Cirque d’Hiver – direction Gaston Desprez – Dominique Denis.
- Achille Zavatta – Star du Cirque – Dominique Denis.
- Annonces de presse Bouglione – 1934 à 1937.
- Das Programm – 1934 à 1937.
- Cirques en bois, cirques en pierre – Charles Degeldère et Dominique Denis.
- Le Cirque d’Hiver – Sampion Bouglione – Marjorie Aiolfi.
- Cirque d’hiver direction les 4 frères Bouglione – circus-parade.com.
- Sur les chemins des grands cirques voyageurs – Adrian.
sources – suite
- La Perle du Bengale
- Annonce de presse Bouglione – Saint-Germain-en-Laye – 4 juillet 1935.
- La visite des quatre frères Bouglione – L. Flouriot – Inter-Forain – 21/09/1936.
- Le Nouvelliste – juin 1936.
- En Belgique et Hollande
- Programmes Bouglione – 1937 à 1939.
- Les cirques de ma jeunesse – Robert Barrier.
- Sur les chemins des grands cirques voyageurs – Adrian.
- Achille Zavatta – Star du Cirque – Dominique Denis.
- Annonces Bouglione – L’Artiste – septembre à décembre 1937 – décembre 1938 – janvier 1939.
- Chronique de Cirque – Henry Thétard – Le Petit Parisien – 1937 à 1939.
- Le cirque est mon royaume – Firmin Bouglione.
- Annonces de presse Bouglione de 1937 à 1939.
- Les Bario – Du Cirque à la Télévision – Dominique Denis.
- Des 4 frères Bouglione, directeurs français – Henry Thétard – L’Artiste – avril 1938.
- French Barnum Circus
- Annonces Bouglione – Le Nouvelliste – 1939.
- Documentation Archives H. H. J. Linssen.
- Programmes Bouglione – 1939.
- Achille Zavatta – Star du Cirque – Dominique Denis.
- Annonces Bouglione – L’Artiste – avril 1939.
-
sources – suite
- Marches allemandes
- Programmes Bouglione – 1940.
- Chronique du XXème siècle – Jean des Cars.
- Cirques en bois, cirques en pierre – Charles Degeldère et Dominique Denis.
- Histoire illustrée des cirques à Bruxelles – Jean Léo.
- Sur les chemins des grands cirques voyageurs – Adrian.
- Nous les Fratellini – Albert Fratellini.
- Sampion Ier Bouglione
- Programmes Bouglione – 1941.
- Cirques en bois, cirques en pierre – Charles Degeldère et Dominique Denis.
- Le cirque sous l’occupation – 1940/1944 – Alain Chevillard – Le Cirque dans l’Univers – n° 258.
- Le Nouvelliste – 1941.
- Sur les chemins des grands cirques voyageurs – Adrian.
À lire
- Le Cirque d’Hiver – Sampion Bouglione – Marjorie Aiolfi – Flammarion – Paris – 2002.
- Un mariage dans la cage aux lions – Rosa Bouglione – Michel Lafon – Neuilly-sur-Seine – 2011.